Le blog de philosophe-frère

Edward se tenait la, il observait la scène de loin, jamais le courage ne lui serait venu de mettre fin a ce qui se passait. C'est a dire que Edward était  courageux  mais pas téméraire. Il n'avait encore jamais vu la mort de près...
Edward, le grand edward soldat depuis toujours, d'après lui. Il était dans cette barque a moitier remplie d'eau, a chaque  vague, il se sentait s'échouer puis se noyer. Son paquetage de 5 kilo était bien trop lourd pour ses frèles épaules. Edward était partis au front pour combattre les nazis et libérer la france, lui était contre la guerre et la mort qu'elle engendrait, malgrès tout il était partis contraint et forcé.
Le voia a présent sous le feu des allemand , tout lui fait peur, le vent violent dans ces oreilles, les vagues venant et revenant. Le froid  de cette matiné glacial a geler son si petit coeur, lui donnait  des secousses violante  qui l'aurait démenbré s'il ne s'était pas tenu si fermement a son pistolet. Un coups part et emmène la vie d'un de ces compagnons près de lui. Il s'arrète net  et vomi son petit déjeuner. Edward ne pouvait plus bouger, ses jambes lui semblait infiniment lourde. La mort allait s'empresser de le soulager de cette charge superflu.  Une bombe tombe. Boom. Fracas saississant d'une mort proche. Un choc violent sur la tête  l'assome. Edward  se voie mourir.
Quelque jour plus tard celle qu'il l'aime recevra a une lettre avec ces quelques mots : "Edward olson mort pour sa patrie et pour la gloire." Des mots pour étayer et étancher les larmes d'une épouse a présent veuve.